A Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), une pharmacie a affiché sur les vitrines de son établissement une affiche appelant à ses clients à boycotter les produits pharmaceutiques israéliens du groupe israélien Téva.

Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) a déposé plainte ce vendredi et a interpellé les autorités françaises. Un fait qui ne nous étonne guère à plus forte raison lorsqu’on sait que dénoncer les actes monstrueux de l’armée israélienne, c’est être taxé d’ « antisémite » : une histoire à ne plus rien comprendre.

« Le BNVCA rappelle que l’appel à boycott est illégal, prévu et réprimé par nos lois. Les plus hautes autorités de l’État ont déclaré que l’antisionisme est la source de l’antisémitisme »; a déclaré l’organisation dans un communiqué.
Décidément inconscient des sottises qu’il prolifère, le bureau explique que « L’appel à boycott participe de cette propagande qui incite à la haine de l’État juif, et pousse à l’acte anti-juif. Les manifestations et les violences antijuives qui se sont déroulées dans le rue de France le démontrent et le confirment », ajoutant que « tout soutien actuel au Hamas et à Gaza, est en réalité un soutien à l’islamo terrorisme palestinien, et au djihadisme ».
De quoi se donner une idée très concrète de ce collectif d’humoristes !

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