Soumise, infériorisée, méprisée, autant d’adjectifs qui nous sont servis par les calomniateurs de l’Islam comme représentatifs de la condition de la femme musulmane.

L’image tronquée de la femme musulmane trouve son origine dans la méconnaissance du noble Coran et des hadiths, que nos frères et sœurs ignorent trop souvent. Pour l’Occident, la musulmane est un être soumis aux diktats de l’homme, alors que lui-même considère la femme comme un objet de distraction dédié à l’homme, tout en s’efforçant de faire croire qu’elle est libre et heureuse.

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Loin d’être cet être voué à vivre dans l’ombre, la femme musulmane tient une place non négligeable dans la société, en tant que mère, épouse ou sœur.
Bon nombre d’entre elles occupent des places très importantes, mais elles ne font que rarement la Une des journaux.

Parmi elles Charlène Elder, ancienne avocate nommée à la division de la famille de la Cour suprême du comté de Wayne (Michigan). Cette mère de famille devient en 2006 la première femme musulmane voilée à siéger dans un tribunal aux Etats-Unis.
Elle est également membre du conseil pour le Centre communautaire arabe pour les services économique et sociale, du conseil consultatif du comité anti discrimination, et de l’Association des juges du Michigan.

Alors que la France se confine, chaque jour davantage, dans un rôle caricatural de défenseur d’une laïcité poussée à outrance, interdisant tous signes qui pourraient lui rappeler de près ou de loin que la communauté musulmane gagne du terrain, il en est d’autres qui ne s’embarrassent pas de détails insignifiants.

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