Dans la nuit du 25 au 26 juillet un tueur a pénétré dans un centre pour handicapés mentaux de Tsukui Yamayuri En (Jardin de lys Tsukui) pour assassiner 19 personnes et en blesser 26 autres.
Un drame pour le Japon qui vient de connaître la pire tuerie jamais connue dans ce territoire depuis 1938.

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L’assaillant est un ancien employé qui avait démissionné du centre et le même mois, il avait été hospitalisé après avoir déclaré que, si le gouvernement l’approuvait, il tuerait des handicapés. Seulement, deux mois après son admission à l’hôpital, le médecin avait autorisé sa sortie avec pour justification, l’amélioration de son état de santé. Chose pouvant être remise en cause au regard de la durée de son traitement…
L’assassin déséquilibré a dans un premier temps, ligoté les membres du personnel, avant de procéder au carnage des victimes qui avaient être 18 et 70 ans.
Cependant, les médias sont restés muets face à cet attentat? Pourquoi le tapage médiatique d’accoutumé si virulent n’a pas eu lieu pour cette affaire?
Pourquoi aucun média ne souhaite employé le mot “terroriste” pour un individu dont l’acte avait pour dessein de semer la terreur? Ici il s’agissait pourtant d’une volonté de priver les handicapés d’un droit fondamental, celui d’être libres et de pouvoir vivre sans être considérés comme des parias de la société.

Encore une fois, on peut compter sur les médias pour manipuler les consciences et sélectionner quel acte relève de l’attentat et lequel est simplement une tuerie perpétrée par un déséquilibré.
Une preuve indéniable que l’utilisation des mots n’est jamais anodine et que l’impact peut modifier le jugement de toute une population amenée à rejeter l’Islam.

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