Les maires des communes ayant mis en place une interdiction anti-burkini sur les plages exercent un abus de pouvoir irréductible pour ne pas se plier à la décision du Conseil d’Etat d’annuler l’arrêté discriminatoire.

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En effet, quatre villes de la Côte d’Azur, Nice, Menton, Roquebrune-Cap-Martin et Fréjus, ont été assignées en justice par le comité contre l’islamophobie (CCIF) par le biais de son avocat maître Sefen Guez Guez. L’avocat niçois souhaite obtenir l’annulation de leur arrêté anti-burkini.

L’avocat précise: « J’ai déposé un référé liberté pour la commune de Nice, Roquebrune-Cap-Martin, Menton et pour Fréjus ».
Pour la ville de Fréjus, l‘audience aura lieu ce mardi à 14h30 au tribunal administratif de Toulon. Par contre, pour les autres villes incriminées, aucune date n’a été établie.
Alors que le Conseil d’Etat a suspendu l’arrêté de la commune de Villeneuve-Loubet, plusieurs villes limitrophes telles que Nice et menton, ont décidé de continuer à verbaliser jusqu’à ce que l’arrêté soit formellement invalidé.
Une attitude intolérante qui révèle un acharnement contre les Français musulmans sous prétexte de vouloir éviter d’une prétendue appropriation de la France par l’islam politique.

Cette situation affligeante a lieu dans une France où quand des femmes voilées sont invitées à quitter la plage, une église évangélique a célébré sans incident une quinzaine de baptêmes par immersion dans la mer sur une petite plage municipale.

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