A chaque fait divers son lot de suspicion. Le crash de l’Airbus A320 du 24 mars n’échappe pas à la règle.
Alain Vidalies, secrétaire d’état chargé des transports était l’invité de Jean-Pierre Elkabbach, le 25 mars, sur Europe 1.
Convié à évoquer les avancées de l’enquête relative au crash de l’Airbus, entouré d’un halo de mystère sur les origines même de l’accident, le secrétaire d’état a dû répondre à une question pour le moins étonnante de la part du journaliste.

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Jean-Pierre Elkabbach a interrogé Alain Vidalies sur les nationalités des passagers, majoritairement allemands et espagnols, il n’en reste pas moins que l’on ignore encore la nationalité de 32 autres passagers. C’est alors que le journaliste pose la question de trop !
« Dans les noms que vous avez des passagers, y ‘ en pas qui viennent d’endroits où on pourrait soupçonner qu’ils sont en mission suicidaire?» Alain Vidalies répond: «Il n’ y a aucun nom de cette nature pour répondre précisément à cette question (…)» Une réponse qui ne satisfait pas le journaliste, alors il insiste :: «Vous nous direz toute la vérité tout le temps ?»

Elkabbach fait clairement allusion à des noms arabes, une discrimination de plus que la communauté musulmane devra subir. Pour résumer la pensée du célèbre journaliste, il suffirait de porter un nom à consonance arabe ou être originaire d’un pays musulman pour faire de vous un kamikaze prêt à faire exploser un avion.

Quand on sait que la réalité est tout autre puisque d’après la boîte noire retrouvée et analysée, la thèse de l’attentat terroriste ne tient pas, mais un des pilotes se serait enfermé dans le cockpit empêchant l’accès au co-pilote. Pour le reste il faudra attendre les conclusions de l’enquête.

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