A la suite des attentats de Paris, l’Etat d’urgence décrété par le gouvernement entraîne une véritable paranoïa anti-“djihadistes”. Et pour cause, les différentes perquisitions administratives ne sont plus à prouver, mêlant violence et avilissement à l’encontre des musulmans sans défense, dont leur croyance et leur pratique suffisent pour être catalogué de vulgaire criminel.
Toutefois, les musulmans ne semblent pas être seuls à subir ce genre de pression.

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Les erreurs grotesques commis par les forces de l’ordre sont infinies. Depuis le 16 novembre, Mickaël, trentenaire et se décrivant comme un catholique pratiquant, a été accusé par les services de renseignements comme étant « proche des milieux salafistes ».

La police, consciente de sa grossière erreur, l’a aussitôt reconnue, mais cela ne suffira pas. Mickaël, connu pour vol, et terriblement choqué par cette accusation à tort, est dorénavant assigné à résidence.

Catalogué « djihadiste », ce dernier attend actuellement la décision du conseil d’Etat sur son cas.

Un catholique catalogué à tort comme salafiste près de Toulouse

▷▷▷ Un catholique catalogué à tort comme salafiste près de Toulouse► Les services de renseignement ont considéré que ce trentenaire, connu pour des vols, était "proche des milieux salafistes". Or, il est catholique pratiquant. La police a reconnu son erreur, trop tard. Assigné à résidence depuis trois semaines, il attend la décision du Conseil d'État sur son cas.

Posté par iTELE sur samedi 5 décembre 2015

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