Sarcelles n’est pas seulement une ville de la banlieue parisienne où a été édifiée pour la première fois les grands ensembles.
Cette commune du Val d’Oise démontre quotidiennement qu’il est possible que des talents ou des élans de solidarité naissent dans des quartiers réputés difficiles.

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Comme précisé dans un précédent article, des jeunes Sarcellois ont souhaité relever un défi en distribuant des repas aux réfugiés du 19e arrondissement de Paris.
Les jeunes de ce quartier de Sarcelles relance la chaîne de solidarité en proposant à deux autres quartiers de Sarcelles, “Sablons” et le vieux “Solo Compoti”, de continuer à préparer et de distribuer de nouveaux repas.
Le défi peut être suivi sur la page associée à l’initiative intitulée « Le grand défi ».

Ce challenge force l’admiration et ouvre une nouvelle perspective pour les banlieues parisiennes qui souffrent d’une stigmatisation persistante.

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Défi : préparer des repas pour les migrants

Le défi lancé sur Facebook par des jeunes de Sarcelles : préparer des repas aux migrants

Publié par franceinfo vidéo sur jeudi 13 octobre 2016


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Ce soir j’ai été accueillie par la cité des Locheres à Sarcelles (95) pour me joindre à eux. Ils relevaient le défi facebook d’aller nourrir les migrants à Paris.
Arrivée dans le camp , j’ai rencontré des gens qui m’ont dit qu’ils ne mangeaient pas tous les jours.
J’ai vu des jeunes de 14ans avoir les yeux qui brillent devant une clémentine.
J’ai rencontré Ismael qui m’a dit que ces gens lui sauvaient la vie, et qu’il rêvait de devenir docteur pour pouvoir un jour sauver aussi des vies.
J’ai vu des jeunes de banlieues donner tout ce qu’ils avaient. Faire bien plus que ce que font les élites. S’intéresser vraiment aux gens. J’ai vu ceux que certains politiques voudraient virer faire preuve d’une humanité que peu auraient le courage d’avoir.
Je partage 2 minutes de cette soirée avec vous parce que je pense que tout le monde n’a pas l’occasion de se rendre compte de la situation.
Ce sont donc deux minutes sans montage ni traitement. Juste la réalité.

Publié par Flo Baruch sur samedi 15 octobre 2016

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