A soixante ans, Christian Estrosi cumule quatre mandats différents:
– Maire de Nice
– Député des Alpes Maritimes
– Président de la région Provence Alpes Côte d’Azur
– Président de la métropole Alpes Côte d’Azur.

Le roi du cumul de mandats a également sept autres fonctions:
– Vice-Président de l’Association des maires de France
– Membre du collège paritaire de Les républicains
– Président du Conseil de surveillance du CHU de Nice
– Président du SYMITAM
– Syndicat mixte de transport des Alpes-Maritimes
– Vice-président de l’Établissement public d’aménagement de la plaine du Var
– Président du Syndicat mixte du SCoT Nice Côte d’Azur (serait remplacé par Louis Nègre)
– Président du Syndicat mixte des stations du Mercantour.

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Un sujet qu’il déteste évoquer lors de ses interviews: « C’est une mauvaise question. […] Cela ne m’intéresse pas. […] Je mets fin à cet entretien. »
En avril dernier, il avait promis de quitter son poste de député et celui de maire de Nice s’il était élu à la tête de la régions PACA.
Lundi, il annoncé sa démission du poste de député à l’Assemblée Nationale mais refuse de quitter son fauteuil de maire: « Je fais le choix de rester membre du conseil municipal parce que ça me permet de participer à cette vie quotidienne de proximité ».

Un emploi du temps de surhomme qui ne lui permet pas de s’investir dans chacune de ses fonctions.
Cependant, on se souvient de son fameux slogan en 2015: « Je suis de droite et je suis un homme de valeurs. Mon seul objectif est l’intérêt général. »
Une situation indécente et insultante pour les contribuables qui payent de lourds impôts et qui finissent très difficilement leurs fins de mois.

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