Pendant que la Ligue de Défense Juive s’adonne à ses occupations illégales, le gouvernement regarde ailleurs, histoire de ne pas venir lui faire de l’ombre. Soutenu par un Valls qui a juré allégeance au CRIF et à Israël, la LDJ coule des jours heureux du moins jusqu’ici.
Car peut-être, nous disons bien peut-être le vent va enfin tourner en leur défaveur nous apprend le site Europalestine.
Plusieurs membres de la LDJ vont comparaître le 31 mai prochain au Tribunal de Grande Instance de Paris. Les chefs d’inculpation sont divers et variés et les accusations ne manquent pas.
Notamment l’Agression physique en 2012 relayée sur le site de la LDJ contre la présidente d’EuroPalestine, Houria Bouteldja du Parti des Indigènes de la République (PIR) et contre le romancier Jacob Cohen.

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Dès la fin mai, 4 membres de la LDJ vont devoir répondre de la haine qu’ils sèment en toute impunité depuis plusieurs années, les sionistes au nombre de quatre s’appellent Joseph Ayache, déjà condamné à une peine de prison ferme pour une agression contre un étudiant Palestinien en 2004 s’est enfui en Israël mais il est revenu depuis sans pour autant avoir accompli sa peine.
Steve Bismuth, trois condamnations à son actif, prison avec sursis pour menace de mort mais s’en sort à chaque fois libre comme l’air, et enfin Lauren Kachauda et Daniel Benassaya. Leur point commun est d’avoir eu des démêlés avec la justice sans être passés par la case prison.
La protection dont bénéficie la LDJ est flagrante, un soutien de poids grâce aux pouvoirs publics français mais aussi au CRIF qui fait quasi parti du gouvernement.

Chaque fois qu’un membre de l’association sioniste s’est retrouvé aux prises avec la justice, le CRIF était là pour le soutenir et faire en sorte que le tribunal le libère au plus vite. L’association pourtant jugée violente pour l’avoir prouvé à plusieurs reprises ne souffre d’aucune atteinte à ses libertés et c’est en toute impunité qu’elle continue à distiller sa haine pernicieuse alors que la menace de sa dissolution plane comme une ombre mais sans avoir jamais été réellement débattue.

De la poudre aux yeux destinée à faire croire à un semblant de justice, mais nous attendons de pied ferme la décision du tribunal qui statuera le 31 mai prochain.

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