L’implication de la France dans la mort du Rais a été plus d’une fois mise sur le tapis. Ce secret de polichinelle ébruité depuis des années du bout des lèvres pourrait aujourd’hui se confirmer.
Le quotidien italien “Il Corriere della Sera” a mené son enquête et affirme que le colonel Kadhafi aurait bien été tué par un agent secret français.

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Une information obtenue par la bouche même de Mahmoud Jibril, l’ancien Premier ministre du gouvernement transitoire, aujourd’hui pressenti pour diriger le pays. La rumeur semble s’affiner et se peaufiner au fil du temps.
« C’est un agent étranger infiltré dans les Brigades révolutionnaires qui a tué Kadhafi », a déclaré ce dernier à la chaîne de télévision égyptienne Dream TV, lors d’un débat sur le “printemps arabe”.

Quel intérêt aurait la France à tuer le chef d’Etat libyen ?

En 2011, la Libye est touchée par le “Printemps Arabe”, une partie de la population, qui se révèle être des rebelles, se soulève et conteste le régime libyen. L’OTAN influencé par la France sous Nicolas Sarkozy soutient les rebelles et empêche Kadhafi de reprendre les villes tombées aux mains des insurgés.
Le colonel Kadhafi menace alors de révéler les détails des montants versés pour financer la campagne électorale de Sarkozy en 2007. La donation se chiffre à plusieurs millions de dollars, un scandale dont l’ancien président de la République ne pourra se relever.

« Sarkozy avait toutes les raisons de faire taire le raïs au plus vite », selon des sources diplomatiques européennes à Tripoli et à Benghazi.
La version officielle selon laquelle les Brigades révolutionnaires libyennes seraient à l’origine de la mort de Muammar Kadhafi d’une balle dans la tête le 20 octobre 2011 à Syrte, serait fausse.
Le quotidien révèle que la France a été secondée, dans sa mission contre le colonel Kadhafi, par le régime de Bachar El-Assad. C’est la Syrie qui aurait aidé la France à localiser le Rais, une fois l’information obtenue, abattre le chef d’Etat libyen a été très facile pour les français, selon le quotidien.

Une vraie ou fausse trahison expliquée par l’ancien responsable des relations avec les agences de renseignements étrangères pour le compte du Conseil national de transition:
« En échange, Assad aurait obtenu de Paris la promesse de limiter les pressions internationales sur la Syrie en vue de faire cesser la répression contre le peuple en révolte. »

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