Les domaines concernés par le boycott israélien ne sont pas seulement les produits alimentaires.
En effet, des millions sont reversés à l’Etat colonial sioniste par le biais des entreprises pharmaceutiques et industrielles.

En décembre, le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU souhaite révéler une liste noire répertoriant de grandes entreprises de l’industrie israélienne, ainsi que plusieurs sociétés internationales, opérant en Cisjordanie, à Jérusalem Est et sur le plateau du Golan.
Parmi les géants présents sur cette liste, on peut retrouver le fabricant de génériques israélien TEVA, qui fait partie des entreprises travaillant illégalement en Cisjordanie occupée.
TEVA est la première entreprise pharmaceutique israélienne, mais également une puissante multinationale ainsi que le premier producteur de médicaments génériques au monde.

Par son apport financier à l’État sioniste, elle contribue au financement des opérations militaires à Gaza et au développement de la colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem‐Est, au mépris des droits du Peuple palestinien et des résolutions internationales, en toute impunité !
Parmi les autres entreprises figurant sur cette liste, on peut retrouver Coca-Cola, TripAdvisor, Airbnb Alstom et Caterpillar.
Les Etats-Unis ont menacé de se retirer du forum international si la liste était publiée.
La vice-ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Hotovely, actuellement en visite aux Etats-Unis, a affirmé dans un communiqué que « les Nations unies jouent avec le feu. »

Cependant, le feu embrase déjà depuis de nombreuses années la Palestine, prise sous le jong du tyran israélien.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît tapez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici