La guerre a pris fin il y a près de 70 ans, la Shoa et l’holocauste aussi. Mais, la page n’est pas tournée pour autant, bien au contraire. Toujours aussi vivace, l’ombre de la Shoa plane sans relâche.

Au milieu de ce tableau peu idyllique, un livre atypique et remarquable (« Mon Holocauste »), parut en France, nous conte les péripéties d’un père et de son fils. Le père dirige le musée de l’holocauste à Washington, tandis que le fils préside une société qui attribue des licences officielles « Holocauste compatible » contre une forte somme d’argent. Partant de là, l’auteur nous narre le business juteux, que représente l’holocauste, cette manne financière considérable, dont profitent les deux compères.

Notamment, des organisations de voyage privés à Auschwitz pour millionnaires américains afin de se remémorer les victimes juives de la seconde guerre mondiale.

Se voulant être plus une satire qu’un témoignage de la réalité, Tova Reich, l’auteur du livre, n’en n’est pas moins conspuée par la communauté juive.
Pourtant cette « satire », semble être bien représentative de ce qui se passe dans le monde. Afin de nous museler et empêcher toute critique à l’égard des juifs, du sionisme ou d’Israël, la carte Shoah est brandie à tout va, et calmer les plus ardents défenseurs d’une réalité, qui a beaucoup de mal à voir le jour.
Prétexte à tous les excès, l’épée de Damoclès risque de tomber, sur nos têtes, à tout instant, nous reléguant définitivement dans la case des antisémites.

L’holocauste, une industrie commerciale, longuement et savamment orchestrée, qui consiste en l’exploitation, sous des dehors éthiques, du génocide nazi, mais qui est d’abord une manière d’amasser de gros capitaux. Pressions exercées sur des gouvernements et des entreprises, avalisées par un sentiment de culpabilité des populations allemandes et suisses.
Combien de capitaux leur ont été soutirés sur base des dépôts bancaires des juifs de l’époque ? De plus, un grand nombre de réclamations d’indemnités indues ont été introduites par des fraudeurs, empochant ainsi plusieurs millions de dollars.

Les musées sur l’holocauste ont voulu garder cette sacralité se limitant aux seules victimes juives, s’appropriant ce pan de l’histoire, alors que des millions d’autres victimes du national-socialisme sont mortes, les Slaves, Tziganes, handicapés
Décriée par les uns, encensée par les autres, la romancière juive, condamne avec humour mais sans langue de bois, ceux de sa communauté. Voilà de quoi raviver les tensions, mais, une chose est sûre, elle ne pourra être traitée « d’antisémite ».

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