Les histoires de sorcellerie et de diable ont bercé notre enfance. Qui n’a pas en mémoire une petite histoire angoissante racontée par l’un de ses proches ?
Mais au-delà de ces contes pour enfants, il existe de vraies histoires de sorcières et de Satan, qui ont défrayé en leur temps la chronique.
Le 24 octobre 2010, le journal Le Parisien publie à sa Une, un fait divers particulièrement horrible.

Ils se jettent par la fenêtre pour échapper au diable : un bébé décède

Un titre à donner la chair de poule. Le fait divers est peu commun, en effet douze personnes se seraient défenestrées du deuxième étage d’un immeuble des Yvelines (Île-de-France) dans le but d’échapper au diable.
Un drame avec pour toile de fond de la sorcellerie et de la magie noire, qui s’est achevée par la mort d’un bébé de 4 mois.
Selon le témoignage des rescapés, au terme d’une cérémonie vaudou, alors que tout le monde dort profondément, les membres de la famille sont réveillés par le diable. Pris de panique, ils se seraient tous jetés par la fenêtre.

Des faits divers semblables, il en existe depuis la nuit des temps.
Mais aujourd’hui, qui est-ce qui croit encore au diable ?
Cela fait des siècles que les suppôts de Satan obsèdent le commun des mortels. Plus proches de nous, les groupes de heavy métal semblent éprouver une véritable fascination pour le diable.

Nous pourrions penser qu’en 2019, tout cela n’est plus qu’un lointain souvenir, mais en mai 2018, une affaire vient nous rappeler qu’il n’en est rien.
Une plaque en métal et un autel voués aux forces occultes sont découverts dans le Queen’s Holy­rood Park, à Édimbourg en Écosse.
Pensant qu’il s’agissait d’une simple plaisanterie, des chercheurs et des archéologues se sont tout de même intéressés à cette étrange découverte.
Au bout d’un an d’enquête, ils ont réussi à élucider le mystère de ces symboles sataniques, rapporte Edinburgh News.

Au lendemain de la découverte, les archéologues sont convoqués par les autorités écossaises qui prennent au sérieux la découverte de restes d’un «autel» en béton et d’une plaque païenne en métal.
La plaque en métal est retrouvée enterrée sous un triangle de terre sur la colline de Whinny, au dessus du lac Sainte-Margue­rite. Il s’agit d’un pentagramme renversé où deux créatures son représentées au milieu d’un cercle.
Il faut savoir que le pentagramme est le symbole par excellence utilisé au départ par les cultes païens, puis repris plus tard par les satanistes.

Enterré à côté de la plaque, un «autel» doté d’un autre pentagramme représentant selon certaines croyances, les quatre éléments : la terre, le feu, l’air et l’eau, ces éléments seraient liés au cercle de la vie, de la mort et de la renaissance.

Pour les juifs, le pentagramme symbolise les 5 livres sacrés que Moïse a reçu de Dieu. Pour les chrétiens – les 5 plaies du Christ … mais aussi les 5 joies de Marie, quand elle a pris conscience de l’élévation spirituelle de son fils. Il y a également les 5 sens de l’homme, ainsi que la main à 5 doigts et de la santé.

Sur celui retrouvé en Ecosse, il y a la représentation de plusieurs personnages, une créature cornue et la déesse de l’eau, rapporte Mark Black, président du UK Pagan Council.
Pensant qu’il s’agissait d’abord d’objets d’origine païenne, les chercheurs ont compris qu’ils étaient en présence de reliques sataniques.

« C’est un mystère », a déclaré M. Black. Selon lui, ces reliques pourraient avoir été utilisées lors d’un culte satanique récent, puisque elles ne figurent dans aucune étude archéologique.
Selon toute vraisemblance, un rite satanique a probablement eu lieu à cet endroit peu avant mai 2018.
Une hypothèse qui effraie les habitants de la région, inquiets à l ‘idée que des satanistes vivent à leurs côtés et qui les croisent peut être tous les jours sans même le savoir.

Source : Edin­burgh News

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