Bien qu’accueilli à bras grands ouverts par quelques chefs d’état peu scrupuleux de dérouler le tapis rouge à un criminel de guerre, Netanyahou sent l’étau se refermer à mesure que les jours passent.
Si certains de ses homologues étrangers, dont Emmanuel Macron en tête, ont décidé de fermer les yeux sur ses crimes à l’encontre des Palestiniens et accessoirement sur ses démêlés judiciaires, en Israël la situation est différente.
Nous avons déjà eu l’occasion d’énumérer les nombreuses accusations de corruption qui pèsent contre du premier ministre israélien. Ses squelettes dans le placard sont aujourd’hui de notoriété publique et Netanyahou sait qu’il aura un jour à en répondre.
Mis en cause dans plusieurs affaires de corruption “Bibi” devra justifier les cadeaux «offerts» en échange de menus services rendus dans le domaine des télécommunications ou au journal Yedioth Ahronoth en échange d’articles élogieux à son égard.
Mais aussi les pots de vin dont ont bénéficié ses proches au moment de l’achat des sous-marins allemands etc, etc…
Nous connaissons tous l’extrême générosité du criminel de guerre qui a pris soin d’associer sa famille à cette charitable distribution de bakchichs «offerts par ses bienfaiteurs».
En effet sa femme Sara a pu allègrement profiter de cadeaux somptueux tout en vivant telle une princesse aux frais du contribuable. Elle a été entendue par la justice israélienne concernant des dépenses faramineuses et des notes de frais quelque peu «exagérées» dont notamment les services d’un coiffeur pour un montant de 1.600 dollars lors d’un déplacement à New York.
La «gauche» israélienne est montée au créneau à l’occasion de plusieurs manifestations à Tel Aviv pour dénoncer la situation et exiger le départ de Netanyahou.
Mais “Bibi” continue de serrer des mains complaisantes ici et là dans l’espoir d’étouffer le scandale tout en accentuant la pression sur les Palestiniens.
Mais un jour ou l’autre, il sera bien obligé de payer pour tous ses crimes.
