La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a fait une bien étrange découverte.

Le ministère des Armées avait engagé une société d’entretien dont le patron était fiché S pour « islamisme radical ».

La situation a vraiment de quoi irriter un agent du contre-espionnage français, qui déplore :

À quoi bon s’embêter à répertorier et à surveiller les radicalisés, pour notamment s’assurer qu’ils n’ont pas accès à des informations sensibles, si les autres administrations se foutent de notre travail ?

Cette société d’entretien était chargée du «nettoyage périodique des locaux et de la vitrerie» d’une caserne du XIIIe arrondissement de Paris.

Le ministère des Armées ne s’est toujours pas exprimé sur cette information. Un haut gradé a quand même reconnu qu’il y avait un «trou dans la raquette».

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît tapez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici