Le 10 juillet 2016 n’est pas seulement la date marquant la fin de l’EURO mais aussi celle de la Journée mondiale de femmes sans voile.
Une initiative tout droit tiré de cerveaux altérés de trois militantes dont deux d’origines maghrébines qui souhaitent d’opposer à ce qu’elle nomment cupidement « une imposture machiste et manichéenne de l’Islam ».
Ce rassemblement devant avoir lieu à Paris sur la Place de la République à 16h00 n’a pas eu la popularité escomptée.
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Le collectif des Femmes sans voile d’Aubervilliers expliquent leurs motivations en ces termes: dire non à la banalisation du port du voile, dénoncer le “business” autour de la mode islamique, et exiger la protection des filles mineures qui seraient endoctriner à porter le voile.
La médiatisation de ce rassemblement par les journaux français n’a pas suffit à pousser les islamophobe à rejoindre le mouvement.
Peut-être aussi un programme trop absurde pour être soutenu par les voix politiques. En effet, ces femmes veulent combattre la liberté de la tenue vestimentaire en tant qu’aspect du droit de la personnalité.
Ces pseudos féministes qui défendent des idées archaïques d’une femme qui serait libre grâce au port d’une mini-jupe, souhaitent étouffer l’essor d’un nouveau type de féminisme: le féminisme islamique permettant aux femmes de s’émanciper dans le langage de la religion.
