Le président de la Fédération turque demande l’exclusion d’Israël par la FIFA et l’UEFA

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L'épouse du président de l'UEFA, Aleksander Ceferin, Barbara Ceferin (à gauche), et le président de la Fédération turque de football, Ibrahim Haciosmanoglu (au centre), assistent au vernissage d'une exposition d'art présentant des œuvres de divers artistes à Tersane Istanbul Contemporary, à Istanbul, en Turquie, le 24 septembre 2025.

Le président de la Fédération turque de football, Ibrahim Haciosmanoglu, a adressé une lettre à la FIFA, à l’UEFA et à toutes les fédérations nationales pour demander que Israël soit banni de toutes compétitions sportives.

Raisons de cet appel

Ibrahim Haciosmanoglu dénonce ce qu’il décrit comme une situation inhumaine et inacceptable menée par Israël à Gaza et ses environs. Middle East Monitor
Il cite un rapport de l’ONU concluant à des actes de génocide contre les Palestiniens, et estime qu’Israël doit assumer ses responsabilités légales. Middle East Monitor
Le président turc souligne que le sport doit promouvoir solidarité et justice, pas être le terrain d’un silence complice.

Comparaison avec d’autres cas internationaux

Ibrahim Haciosmanoglu fait valoir que la Russie a été bannie des compétitions internationales peu après le début du conflit ukrainien. Il interroge pourquoi des mesures similaires ne sont pas appliquées à Israël. Middle East Monitor
Des sanctions, le retrait d’avantages commerciaux ou de collaborations culturelles sont aussi mentionnés comme réponses possibles.

Réactions attendues et enjeux

L’appel turc risque de générer des réactions fortes : diplomatiques, juridiques ou sportives.
La FIFA et l’UEFA doivent maintenant décider si elles appliquent cette demande, ce qui aurait un impact historique sur le monde du football.
Ce débat souligne le lien souvent étroit entre sport, éthique, et politique internationale.

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