Après l’explication de Benzema sur la raison pour laquelle il ne chantait pas la Marseillaise, Patrice Quarteron s’est déchaîné sur son compte Facebook. Des propos insultants et pitoyables de la part du mauvais boxeur :

T’es un c** depuis bien longtemps. Tu es un c** à multifacette. Je n’ai jamais aimé ton insolence, des fanfaronnades, tes claquettes condescendantes face à l’hymne national.

Ton culot à mâchouiller ton chewing-gum pendant que d’autres chantent la Marseillaise, la main sur le coeur et les yeux dans l’histoire (pour ton information, la Marseillaise, c’est le chant patriotique de la Révolution française, ça devrait te rappeler quelque chose dans ta cervelle de c**).

Le foot t’a abandonné. Il t’a laissé de côté, toi, petit Karim, perdu dans tes propres ambitions. À force de cracher sur la Marseillaise, tu t’es noyé dans tes propres mollards. Dans ta course vers la honte, tu as filé tout droit vers la défaite. Dans ta couardise, ta bêtise congénitale, ton esprit de survie (choisi celle que tu préfères),

T’a beau nous la jouer « valseuses » à Madrid, on n’est pas dupe. Je te plains, seul, sur ton banc, avec ton petit ego alors que la Patrie France est levée comme un seul homme aux noms de Mbappé, Giroud, Payet, Pogba, Griezmann….

Je n’imagine pas ta douleur mec. Tu peux profiter de ton argent gagné durement pendant tes matchs. Parce que c’est tout ce que tu auras. L’estime de ton pays. La joie de gagner en France. L’incroyable puissance des hurlements des supporters au stade. La fête de la planète de foot « France ». Tout cela, tu ne l’auras jamais. C’est raté. Fini.

Mais je suis beau joueur. Je tiens à te remercier, car sans toi, on perdrait assurément ! Tu es un poison. Tu es comme le cancer du pancréas : tu bouffes tous les organes que tu côtoies. Tu aurais certainement filmé tous les joueurs nus sous les douches avant de les menacer de diffuser les vidéos !

Tu aurais peut-être saboté les freins de la bagnole de Griezmann ! (en tout cas, je suis certain que tu ne serais pas allé jouer avec le petit Hugo, le fils de ce policier tué par un fou à Magnanville)

Pour une fois, tu ne seras pas un artisan de la défaite de ton pays.

Ce pays qui a subvenue aux besoins de ta grand mère qui survivait grâce aux restos du coeurs pendant que tu t’épilais dans ta villa, histoire de faire « plus présentable ».

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