D’après Oqba ibn Amir (Radhi Allahu anhu), le Prophète (Salla Allahu alayhi wa Salam), a dit :

Ô Oqba, ne vais-je pas t’apprendre les deux meilleures sourates que tu ais lu ‘Qoul A’oudhou Bi Rabil Falaq’ (Sourate 113) et ‘Qoul A’oudhou Bi Rabi Nas’ (Sourate 114).
Ô Oqba, lis les à chaque fois que tu dors et à chaque fois que tu te lèves, personne n’a demandé ou a chercher protection par mieux qu’elles. (Rapporté par Ahmed et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Al Jami n°7948)

‘Aïsha (radhiallâhu anha) rapporte ceci :

Lorsque le Prophète (Salallahu alayhi wa salam) avait mal, il lisait dans ses mains al-mu‘awidhatayn (les sourates l’Aube Naissante (113) et les Hommes (114)) puis les passait sur son corps. Lorsqu’il devint très malade, je lisais moi-même ces sourates puis je soufflais dans ses mains et je les faisais passer sur son corps par espoir dans leur bénédiction.» (Rapporté par Muslim)

Ouqba ibn Amir (radhiallâhu anhu), a rapporté que le Messager d’Allah (Salallahu alayhi wa salam) a dit:

N’as-tu pas entendu les versets qui ont été révélés celle nuit? On n’a jamais rien vu de semblable ! Ce sont les sourates : “Dis : Je cherche protection auprès du Seigneur de l’aube naissante” (Sourate: Al-Falaq (L’aube naissante)) et “Dis: Je cherche protection auprès du Seigneur des hommes” (Sourate: An nas (Les hommes)). (Rapporté par Muslim).

Les deux dernières sourates du Coran al-Falaq et an-Nass appelées les Protectrices (al-Mu‘awidhatayn) :

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