Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdel Aty, a affirmé que l’Égypte avait rejeté plusieurs offres financières importantes pour accepter le déplacement des Palestiniens. De plus, il a souligné l’engagement de son pays envers le droit international. Il a exprimé son refus de céder à ce qu’il qualifie de « loi de la jungle ».
Dans une interview sur Al-Hekaya, Abdel Aty a précisé que trois propositions avaient été faites. La première incluait l’annulation de la dette égyptienne et d’autres incitations financières majeures. L’Égypte a refusé catégoriquement toutes ces offres, affirmant que les positions du pays sont claires et fermes.
Le ministre a rappelé qu’après plus de 45 ans de relations diplomatiques avec Israël, les deux pays comprennent mutuellement leurs positions et leurs limites. Il a aussi insisté sur la responsabilité d’Israël d’ouvrir les frontières pour le passage de l’aide humanitaire. Cela doit se faire en conformité avec le droit international.





























