Le premier ministre Manuel Valls rêve “Islam”, déjeune “musulmans” et dîne voile “islamique”, chaque parole prononcée l’est pour dénigrer, stigmatiser et discriminer les musulmans, un discours récurrent que le premier ministre n’a pas modifié d’un iota depuis son accession à sa fonction aux côtés de François Hollande.
Que cache cette haine viscérale à l’encontre des musulmans ? Faire du voile un instrument d’avilissement de la femme traduit sa grande ignorance dans le domaine de l’Islam, mais Manuel Valls cherche-t-il réellement à comprendre ou à trouver des réponses à ses nombreuses questions qui ont toutes pour point commun de discréditer toute une communauté aux yeux de la population ?

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Dans une interview accordée au journal Libération, il va s’étendre longuement sur les raisons qui le poussent à s’opposer avec véhémence au voile dit “islamique”, faisant fi des droits fondamentaux de la communauté musulmane composée avant tout de citoyens français qu’il a apparemment décidé de considérer comme des citoyens de seconde zone qui n’ont aucun droit sur le sol français.

S’il en avait le pouvoir, Manuel Valls interdirait purement et simplement le voile dans la rue puis pourquoi pas la barbe et tout autre signe qui laisserait entrevoir qu’une personne est de confession musulmane.
Mais heureusement comme il l’estime lui-même:
« il faudrait le faire, mais il y a des règles constitutionnelles qui rendent cette interdiction difficiles », car son plus cher souhait du moment est de l’interdire dans les universités puisque les écoles n’ont pas suffi à étancher sa soif d’intolérance.
Il est en boucle depuis des années sur ce voile qu’il souhaite supprimer de l’horizon laïc français qui « vise à nier » la femme selon lui.

Plusieurs associations de défense des Français de confession musulmane se sont indignées des propos du premier Ministre:
« Nous sommes Français, nous voulons être considérés de la même manière que les autres et qu’on arrête de stigmatiser », répond en colère Abdallah Zekri, président de l’Observatoire des actes islamophobes.
L’homme de gauche qui tend à pencher très à droite tant ses opinions flirtent dangereusement avec les thèses frontistes peut toujours se prévaloir d’être un socialiste, mais nous avons encore le droit de douter de son intégrité d’homme de gauche.

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