Pourquoi continuer de marcher pour la Palestine après l’accord de Trump

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Une manifestation a eu lieu devant l'ambassade des États-Unis à Brasilia, au Brésil, le 7 octobre 2025, pour marquer le deuxième anniversaire de l'attaque du 7 octobre 2023 contre Gaza.

À chaque « nouvelle étape » annoncée feuille de route, cadre d’accord, première phase de Donald Trump beaucoup se réjouissent. Mais pour les Palestiniens, cela évoque surtout des promesses vides.

Des bombardements reprennent, des destructions continuent, le blocus persiste. Rien n’est réellement transformé, seule la rhétorique change.

Un vocabulaire pour masquer l’injustice

Les mots changent : « phase » remplace « opération militaire », « sécurité » remplace « occupation ». Ce verbiage rend l’oppression acceptable aux yeux du monde.

Mais le cœur du problème reste intact : la dépossession, le siège, et l’impunité continuent sans remise en cause.

La grève, le travail & la complicité du gouvernement britannique

Le Royaume-Uni exporte encore des composants pour les avions F-35 utilisés à Gaza, tout en proclamant l’engagement pour les droits humains.

Le gouvernement britannique parle d’« engagement », mais reste complice selon les manifestants s’il continue à fournir matériel et soutien.

Marcher devient un devoir moral

La présence dans la rue n’est pas un rejet de négociation, mais une exigence pour que la diplomatie soit enfin réelle.

Quand le système tente d’habituer le monde à la souffrance palestinienne, marcher est un acte de résistance contre l’usure morale.

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