Des Palestiniens, dont des enfants, se sont rassemblés à Khan Younis pour célébrer l'annonce de l'accord de cessez-le-feu à Gaza, le 9 octobre 2025.

Depuis trois ans, le génocide à Gaza détruit vies et espoirs. Pourtant, de nombreux gouvernements occidentaux refusent de reconnaître l’ampleur de cette tragédie.

Les médias adoptent le récit israélien : les bombardements deviennent « actions militaires légitimes », les civils tués, des dommages collatéraux.

Une histoire vieille d’un siècle

La crise ne commence pas en 2023, mais remonte à la promesse Balfour et au mandat britannique, qui ont posé les bases d’un partage injuste.
Depuis, les Palestiniens enchaînent catastrophes sur catastrophes, mais le monde détourne le regard.

Hypocrisie occidentale et complicité

Les gouvernements qui « pleurent » sur Gaza continuent largement de l’armer ou de commercer avec Israël.
Les sanctions sont cosmétiques, la diplomatie limitée, et le véritable changement reste absent.

Le défi : reconstruire, résister, revendiquer

Reprendre la vie à Gaza implique plus que des médias ou des mots : il faut justice, réparations, souveraineté.
L’auteur exhorte les Palestiniens à ne pas se laisser réduire à des chiffres ni à des victimes silencieuses.
Le vrai triomphe serait que Gaza vive encore, qu’on lui restitue son humanité.

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