Les reporters sur place en Syrie ne sont pas là uniquement pour transmettre les derniers événements. Ils sont les premiers sur le front pour assister à une catastrophe humanitaire sans précédent.
Milad Fadel, reporter pour Aljazeera depuis la banlieue d’Alep, s’effondre en larmes en direct pendant qu’il témoignait des conditions de vie des enfants.

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A l’antenne, il explique que la ville d’Alep subit un lourd blocus qui empêche le ravitaillement de denrées alimentaires. Il se laisse à la douleur en évoquant qu’il a croisé des enfants qui mourraient de faim. Cette situation inadmissible lui fend tellement le cœur qu’il finit par pleurer et abandonner son témoignage.
Milad Fadel se rend compte de son impuissance au milieu de crimes de guerre où les premières victimes sont les bébés et les enfants.

Chaque jour des enfants meurent de faim ou sont bombardés par les raids aériens. Aucun pays n’ose intervenir pour faire cesser ce drame ignoble. Une génération entière de syriens sera perdue puisque un enfant sur trois n’a connu que la guerre.
Parmi les 8,5 millions d’enfants syriens, 7 millions vivent dans la pauvreté extrême avec une enfance synonyme de pertes et de privations.

Et ce n’est que le commencement du désastre car, alors que l‘Etat syrien a ouvert des quatre corridors humanitaires afin de permettre aux civils de quitter la zone d’Alep, l’armée a ouvert le feu et a tué un civil dans un couloir qui est en passe de devenir un des couloirs de la mort.

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