Le ministère palestinien de la Culture a pleuré l’artiste palestinien Mohammad Joulani, décédé vendredi à l’âge de 37 ans, affirmant que «son décès constitue une perte pour la scène artistique et culturelle palestinienne».
Né en 1983, Joulani a étudié les beaux-arts à l’Université Al Quds de la ville d’Abu Dis.
Palestinian artist Mohammad Joulani dies at 37 https://t.co/aiEDQBmC46 via @TheNationalUAE RIP
Such a short but vital life— nicola jane ablett (@rakdiva) October 4, 2020
En 2011, il est retourné à l’Université Al Quds pour enseigner les arts visuels jusqu’en 2013. Entre 2016 et 2018, il a travaillé à l’école centenaire Friends Boys de Ramallah.
En 2016, il a reçu le prix Ismail Shamout, qui célèbre l’art palestinien.
Peintre avant tout, Joulani a créé des œuvres qui représentaient sa ville natale de Jérusalem et se dessinait souvent lui-même ou une figure humaine anonyme comme sujet pour décrire les problèmes palestiniens contemporains.
“Regular Day” Solo exhibition by Palestinian artist Mohammad Joulani – PNN https://t.co/jEhMw7VfLp #Palestine pic.twitter.com/Qi5Twve0IC
— al whit (@soitiz) July 30, 2016
Peintre avant tout, Joulani a créé des œuvres qui représentaient sa ville natale de Jérusalem et se dessinait souvent lui-même ou une figure humaine anonyme comme sujet pour décrire les problèmes palestiniens contemporains.
Ses initiatives communautaires locales impliquaient de peindre les toits et les murs de Jérusalem, en particulier dans la vieille ville. Ces peintures murales étaient souvent rendues dans des couleurs accrocheuses et des formes géométriques imbriquées, ainsi que des références au paysage palestinien.
