Dés le mercredi 30 mars, les autorités françaises ont reçu un courrier transmis par le Le Haut-commissaire aux droits de l’homme Zeid Ra’ad Al Hussein, faisant état de nouvelles allégations d’abus sexuels commis par les soldats français en Centrafrique.
En effet, l’ONU aurait reçu des rapports stipulant que les soldats français de Sangaris auraient forcé des jeunes filles à subir des rapports sexuels avec des animaux contre une certaine somme d’argent.

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Plus particulièrement, selon un rapport de l’ONG AIDS-Free World, trois jeunes femmes déclarent avoir été déshabillées et attachées par un militaire du camp de Sangaris puis auraient été contraintes à avoir des relations sexuelles avec un chien.
Au total 108 victimes présumées d’abus sexuels dont la plupart sont des mineures.
La France a promis de faire « toute la lumière » sur ces accusations de viols pédophiles et zoophiles commis par ces soldats

Par ailleurs, les Nations Unies sont une nouvelles fois visées par plus d’une centaine d’allégations de sévices commis par des Casques Bleus en Centrafrique. Ainsi, François Delattre, l’ambassadeur français auprès des Nations Unies a dénoncé « les cas d’abus et d’exploitation sexuels allégués sont particulièrement révoltants et odieux ».
L’ONU enquête sur ces accusations sur ces violences sexuelles et de bestialité, dans ce pays meurtri par des années de guerre.
Le Haut-commissaire aux droits de l’homme a déclaré "qu’aucun effort ne doit être ménagé" dans l’enquête des Nations Unies. D’autre part, le secrétaire général de l’ONU, Ban-Ki-Moon, se dit « profondément choqué

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