Renaître de ses cendres : la reconnaissance mondiale d’une nation réduite au silence

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Des Palestiniens, dont des enfants, se sont rassemblés au camp de réfugiés de Nuseirat, célébrant avec des drapeaux palestiniens l'annonce de l'accord de cessez-le-feu à Gaza, le 9 octobre 2025, à Deir al-Balah (Gaza).

Alors que Gaza subit une destruction immense, des Palestiniens remportent des prix, exposent leur culture et affirment leur identité face au silence.

Le scientifique Omar Yaghi, né dans un camp de réfugiés, reçoit le prix Nobel de chimie, rappelant que le talent surgit dans les lieux les plus difficiles.

Quand culture et science défient l’effacement

Le documentaire No Other Land, sur l’expulsion à Masafer Yatta, remporte un Oscar ; un tel succès éclaire l’injustice souvent ignorée.

La participation de Nadeen Ayoub, mannequin, à Miss Universe devient une expression publique de la fierté palestinienne, bien au-delà du simple concours.

Le bilan humain avertit

Plus de 67 000 Palestiniens sont morts, des villes rasées, des millions déplacés. L’ONU parle de famine imminente.

Les maisons sont détruites, hôpitaux en ruines, écoles ébranlées, pourtant, l’espoir persiste chez ceux qui restent.

Vers une revendication de souveraineté

142 États membres des Nations unies appellent à reconnaître un État Palestinien, à un cessez-le-feu permanent, à une paix durable.

Organisations internationales comme Amnesty, B’Tselem ou PHR-Israel convergent dans leurs conclusions : la situation à Gaza relève du génocide selon des preuves.

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