Le président vénézuélien Nicolas Maduro souligne son soutien total aux droits des Palestiniens et la nécessité de rendre justice face aux crimes et au génocide commis dans la bande de Gaza.

Le président vénézuélien Nicolás Maduro a réaffirmé son soutien total aux droits palestiniens, estimant que la justice est essentielle pour instaurer une paix véritable à Gaza. Selon lui, la réconciliation ne peut passer que par la reconnaissance et la réparation des crimes perpétrés.

1. Pourquoi la justice selon Maduro ?

  • Nicolás Maduro insiste : la paix réelle à Gaza ne peut naître sans que justice soit rendue pour les crimes et le génocide dont les Palestiniens ont été victimes.

  • Selon lui, sans responsabilité ni réparation, les accords de paix resteront vains et symboliques.

2. Soutien inconditionnel aux Palestiniens

  • Le président vénézuélien réaffirme le soutien inconditionnel de son pays aux droits des Palestiniens, notamment leur droit à un État indépendant.

  • Il qualifie la question palestinienne de « cause la plus sacrée », soulignant l’importance d’un accord « complet et légitime » qui garantisse les droits légaux des Palestiniens.

3. Justice comme fondement d’un accord légitime

  • Nicolás Maduro espère qu’un futur accord pour Gaza ne sera pas seulement un cessez-le-feu, mais une véritable base légale et morale : un traité ou un pacte qui reconnaisse les torts, punisse les responsables et protège les survivants.

  • Il lie explicitement la justice au droit au retour des Palestiniens et à l’établissement d’un État palestinien libre et souverain.

4. Une vision de paix active, pas passive

  • Pour Nicolás Maduro, la reconstruction de Gaza doit aller de pair avec la justice : reconstruire sans juger serait une « paix de ruines ».

  • Il propose un engagement international concret : brigades vénézuéliennes de bâtisseurs, médecins et agriculteurs pourraient être envoyées pour accompagner la population dans la reconstruction, tout en assurant que ce processus reste lié à la justice.

  • Nicolás Maduro demande également que les acteurs garants d’un éventuel accord (pays médiateurs, ONU, etc.) veillent à ce que la justice soit réellement inscrite dans les étapes post-conflit.

5. Dimension morale et symbolique

  • Selon lui, le dossier palestinien dépasse la simple géopolitique : c’est un enjeu moral, profondément humain.

  • Il appelle la communauté internationale non seulement à soutenir Gaza matériellement, mais aussi à engager un processus de justice à long terme, pour tourner la page des massacres dans la dignité.

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