
La sélection du secrétaire général de l’ONU entre dans une nouvelle phase alors que le mandat d’António Guterres se termine fin 2026. Les Nations unies ont officiellement rouvert le calendrier des candidatures, appelant à plus de diversité. Une annonce qui soulève déjà de fortes interrogations sur les ambitions réelles des grandes puissances.
Les présidents de l’Assemblée générale et du Conseil de sécurité ont publié un message conjoint détaillant les étapes de la sélection du secrétaire général de l’ONU. L’appel insiste sur la nomination de femmes et sur la nécessité de préserver la diversité régionale. Le futur dirigeant devra affronter un monde marqué par les conflits, les tensions géopolitiques et les fractures technologiques. Annalena Baerbock rappelle que la nouvelle direction devra porter les piliers de paix, droits humains et développement.
Cette annonce suscite de vives réactions car la sélection du secrétaire général de l’ONU se déroule dans un contexte mondial particulièrement instable. Les grandes puissances cherchent à influencer le choix d’un profil capable de gérer crises climatiques, cybersécurité et nouvelles tensions internationales. Le débat se focalise aussi sur l’intégrité, la diplomatie et la capacité du futur secrétaire général à réformer une institution critiquée mais indispensable. L’affaire continue de faire parler, alors que les candidatures devraient s’intensifier dans les prochains mois.




























