Traumatisé, cet enfant syrien blessé refuse de quitter les bras de l’infirmer

Après la Palestine, la Syrie vit à son tour un drame sans précédent. Bombardée de jour comme de nuit par les membres de la coalition d’une part, et les forces syriennes de l’autre, qui ont décidé de raser la Syrie de la carte.

Des millions de syriens ont fui l’horreur de la guerre, les uns se sont noyés durant leur funeste périple, pendant que les autres, plus chanceux pourrait-on penser, sont victimes de la haine, conséquence de leur épouvantable immigration forcée.
Mais au centre de ce tragique constat, des millions de syriens restés au pays sont toujours piégés sous les bombardements des uns et des autres. S’abritant sous les ruines des habitations, la population ne s’est plus où se cacher et les enfants, premières victimes d’une guerre sans merci, sont traumatisés à vie.

A l’image de ce petit garçon blessé dans le bombardement de sa maison à Alep, qui s’accroche désespérément aux bras d’un infirmier qui ne peut procéder aux examens médicaux.
Une vision à l’état brut de ce que les enfants syriens endurent tous les jours, comment pourraient-ils encore espérer une vie normale, sans bombardement, sans cris, sans pleurs, sans peur du lendemain ?

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