Bernard de La Villardière agressé ? La vidéo qui prouve le mensonge du journaliste !

Suite à la diffusion de l’émission Dossier Tabou de Bernard de la Villardière, diffusée mercredi 28 septembre 2016, de multiples polémiques ont éclaté pour dénoncer le caractère scandaleux de ce numéro intitulé « L’Islam en France : La république en échec ».

Alors que Bernard de la Villardière se défendait de tout sensationnalisme, de nombreuses personnes présentes dans le reportage ont choisi de s’exprimer sur leur apparition.
C’est le cas des jeunes hommes rencontrés par l’équipe d’M6 dans la “cité des Radars” à Sevran accusés d’héberger en son sein le lieu de culte surnommée « la mosquée de Daesh » et dont le propriétaire serait Dhaou Meskine.
Selon certaines sources, cette mosquée aurait abrité des jeunes qui ont choisi de combattre en Syrie.
Lors de l’émission, Bernard de la Villardière a choisi de montrer un passage où des jeunes s’interposent entre son équipe de tournage et la fameuse mosquée décriée.

Interrogés par Info BuzzFeed News, le groupe révèle ses véritables revendications.
Les trentenaires décrits par M6 comme étant de jeunes adolescents « “salafistes” et dealers de drogue », sont en réalité un groupe de trentenaires qui étaient allés à la rencontre de l’équipe de tournage pur connaître les raisons de leur présence.
L’altercation débute lorsqu’un des trentenaires met sa main devant une caméra. Ils réclament d’être salués. « Je ne peux pas dire bonjour, je suis en train de parler », répond l’un des cameraman.
L’un des Sevranais souhaitant être prénommé “Vinks” a expliqué : « C’est la réaction du présentateur, qui a commencé à hurler et à dire qu’il était en France chez lui, qui a été l’élément déclencheur de l’altercation ». «Il est dans son pays, mais nous aussi. Je suis né dans cette ville, la France est aussi mon pays».

Bernard de la Villardière a profité de cette fabuleuse opportunité pour échauffer le groupe de trentenaires et les pousser à réagir avec agressivité. Le nouveau manipulateur de l’opinion publique avait refusé de saluer le groupe en proférant « je suis dans mon pays, je fais ce que je veux » et « Vous dégagez! ».
Une belle télémanipulation que les quatre Sevranais ont souhaité dévoiler au grand jour pour atténuer la stigmatisation des musulmans et les amalgames présents tout le long du reportage.
Ces trentenaires n’étaient pas musulmans et n’avaient aucun lien avec cette mosquée, mais rien ne peut empêcher le journalisme de bas étage d’enterrer l’islam dans un haineux fossé de mensonges scabreux.

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