
Des millions d’Italiens ont répondu à l’appel de syndicats pour une grève nationale en solidarité avec la flottille Global Sumud, après son interception par les forces israéliennes.
Une mobilisation sans précédent
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La grève a paralysé les transports, écoles, hôpitaux : services publics et privés fortement touchés.
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Des manifestations ont eu lieu dans plus de 100 villes, avec des rassemblements massifs à Milan, Rome et Livorno.
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À Milan, les manifestants brandissaient des drapeaux palestiniens et des slogans tels que « Stop the genocide ».
La voix des syndicats et des leaders
Le syndicat CGIL a qualifié cette grève de « défense de la fraternité », appelant à remettre l’humain au cœur du débat politique.
Le leader Maurizio Landini a déclaré : « Ce n’est pas une grève ordinaire, c’est une réponse fraternelle, un non au génocide et à la militarisation. »
Revendications des manifestants
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Libération immédiate des Italiens détenus suite à l’attaque de la flottille.
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Reconnaissance totale de l’État palestinien sans conditions.
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Sanctions sévères contre Israël pour son blocus et ses actions militaires.
Réactions gouvernementales
Le gouvernement italien a miné la gravité de la grève, la qualifiant de « geste politique » utilisé comme excuse pour s’absenter.
La Première ministre Giorgia Meloni a conditionné la reconnaissance de la Palestine à la libération des otages et à l’exclusion du Hamas.



























