Selon les rapports, un nombre important de compagnies aériennes internationales ne reprennent pas immédiatement les vols vers Israël même après l’accord de trêve. Certaines ont annoncé qu’elles pourraient ne pas revenir du tout.
Pourquoi cette prudence persiste
Les raisons avancées incluent :
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La crainte que le calme observé soit temporaire, poussant les compagnies à attendre la confirmation de stabilité.
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L’arrêt de nombreux services au-delà de la saison d’hiver, voire une absence de date de retour fixée.
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Le contexte sécuritaire volatile : attaques de missiles et drones dirigées vers l’aéroport Ben Gurion International Airport renforcent l’incertitude.
Impact sur Israël et les voyageurs
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La réduction des vols internationaux limite les options pour les voyageurs et les touristes, ce qui peut freiner la reprise économique dans le pays.
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Les compagnies israéliennes telles que El Al Israel Airlines voient leur charge de passagers augmentée, alors que la concurrence étrangère se retire partiellement.
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Le marché aérien reste fragmenté et sous tension, avec des prix de billet élevés et une reprise incertaine.
Vers une reprise ?
Certaines compagnies ont indiqué un retour possible à l’été prochain, mais aucune date ferme n’a été annoncée pour plusieurs liaisons.
L’évolution dépendra notamment de l’amélioration de la sécurité régionale et des garanties gouvernementales pour les transporteurs.






























