« A vous, Monsieur le Président, vous que je vouvoie non pas par respect mais parce que vous ne serez jamais mon ami. En effet, mes amis ne sont pas des assassins !
Aucune mesure pendant des semaines, malgré les exemples probants de la Chine et de nos voisins Italiens et Espagnols. Confinement total au lendemain d’un appel à voter, savez-vous combien de morts directement dû à cet appel vous avez causé ?
Les masques que vous avez octroyés pour les élections, vous les avez volés – vous, Monsieur le Président – aux soignants. (…)
Combien de gens allez-vous tuer encore Monsieur le Président ? La maison Dior modifie ses chaînes de production pour contribuer à lutter contre le Covid-19 et fabriquer du gel hydroalcoolique. Là encore, vous êtes incapable de réquisitionner une usine pour fabriquer masques et gels ?
Mais où démarre votre incompétence ? Refus des patients trop âgés en rééducation par manque de moyens, de personnels, de masques,… J’espère que votre mère qui avoisine les 70 ans à qui on refusera la réanimation viendra chez vous, mourir dans des draps de soies avec les mêmes souffrances que le petit peuple.
Assassin, génocidaire, dictateur imposant ses lois en limitant nos libertés et nos droits à manifester donnant le plein pouvoir à une police fachiste qui tapait ma corporation il y a encore 2 mois et que vous laissez depuis 2 années crever et aujourd’hui crever du Covid.
Votre gouvernement nous a mené par son incompétence à cette situation. Aux portes de la mort ! (…)
La politique ne gouverne pas la médecine. Amis soignants, amis patients n’oublions pas cette leçon qui grâce à cet homme (Pr Raoult) sera peut-être d’une relative courte durée et fait aujourd’hui la fierté de Marseille, la fierté de la France mais surtout remet les choses à leur place. L’Hippocrate n’est pas un politicien !
L’Europe que vous nous vantez, ne sert-elle qu’à partager les dettes et les réfugiés ? (…)
La France n’est plus votre pays, il faudra le réaliser après le confinement et rendre un passeport que vous ne méritez pas en attendant la prison pour haute trahison mais aussi pour génocide, non-assistance à personnes en danger, vols de matériel médical, de médicaments,…
Ce n’est jamais trop pour vous, Monsieur le Président, vous serez jugé pour vos crimes tôt ou tard.
Je vous souhaite le pire et pour longtemps ! »
[…] «Assassin, génocidaire, dictateur » : une infirmière en colère publie une lettre… […]