« Imana JJB » - la communauté musulmane appelle au boycott du journal Le Parisien

La salle de Jujitsu, Imana JJB de Savigny-le-Temple, a été infiltrée pendant de nombreux mois par Quentin Fouquereau, journaliste au Parisien, se faisant passer pour un musulman converti vivant une forte dépression suite à sa récente rupture avec sa femme. 

L’article paru dans le quotidien était « mensonger et diffamant » à l’encontre des membres de Imana JJB. L’intention du journal Le Parisien visait clairement à salir la réputation honorable des acteurs associatifs de cette salle de sport et par là même à surfer sur la vague islamophobe qui sévit malheureusement en France.

Dans ce contexte, de nombreux acteurs de la communauté musulmane appelle les musulmans et les non-musulmans à boycotter Le Parisien pour ses pratiques journalistiques douteuses « jusqu’à ce que justice soit faite ! »

 

 

 

Droit de réponse de la salle Imana JJB

 

Dans une vidéo originale, les sportifs de la salle de Jujitsu de Savigny-le-Temple Imana JJB, ont décidé de prendre la parole afin de défendre le propriétaire, accusé de séparatisme.

« J’ai début dans son club il y a cinq ans en tant que grimpeur. Et l’ambiance était tellement bonne que je suis passé aussi en Jujitsu. »

Un autre des sportifs du club de Savigny-le-Temple explique, avec le sourire :

« En neuf ans, j’ai dû rater 1 entraînement, en neuf ans ! »

Un autre de ces sportifs explique :

« Depuis  le jour où je suis arrivé, je n’ai pas quitté. C’était génial, c’était comme une grande famille. C’est toujours dans la fraternité et dans la loyauté et depuis, je n’ai pas quitté, j’adore et je continue mon ascension ici. »

Et Samir Bensaïd, le propriétaire du club Imana JJB explique, face à ses sportifs :

« Je pense que je subis de l’injustice diffamatoire avec des mensonges factuels. Maintenant, ce qui est fait, le mal est fait. Et maintenant, le soupçon est jeté. C’est la vie, c’est comme ça, on ne peut rien y faire. Mais on veut véhiculer un message d’apaisement et de sérénité. Les représailles, il n’y a pas de ça chez nous. »

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