Lydia Guirous, ancienne porte-parole du parti Les Républicains était l’invitée de la chaîne israélienne i24. Interrogée sur le soutien des juifs suisses envers les musulmans pour l’autorisation de la burqa, Lydia Guirous s’est indignée de cette fraternité et a déversé sa logorrhée mensongères envers l’islam afin d’attiser les haines entre les communautés.

 

 

« La burqa efface totalement le visage des femmes, qui met un grillage devant les yeux des femmes. Cette loi est un pas vers la liberté et l’émancipation. La burqua n’est pas musulmane. La burqa c’est le l’islamisme en action. » déroule Lydia Guirous.

« Je trouve ça regrettable, que des associations juives se rendent complices de ceux qui les haïssent. Ces personnes en réalité suivent la charia et dans la charia il est quand même indiqué comment il faut tuer des juifs !» assène-t-elle sans sourciller.

Les femmes juives soutiennent les femmes musulmanes

La Ligue suisse des femmes catholiques (SKF), l’Union suisse des organisations de femmes juives (USFJ) et les Femmes protestantes en Suisse (FPS) s’opposent à l’initiative «Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage» qui a été soumise à un référendum le 7 mars dernier.

L’USFJ, les FPS et la SKF appellent au rejet de l’initiative pour l’interdiction de se dissimuler le visage soumise au peuple suisse le 7 mars prochain. «Cette initiative mine la tolérance à l’égard des femmes portant des signes d’appartenance religieuse visibles», déclare Gabi Elikan, membre du comité de l’USFJ. L’interdiction de se dissimuler le visage proposée ne tient pas compte du droit garanti de vivre selon ses coutumes et préceptes religieux, ce qui inclut les usages et règles vestimentaires. Les trois associations rejettent l’initiative parce qu’elle crée un climat qui mine la tolérance et favorise la polarisation, révèle Cath.ch

Les organisations féminines estiment en outre que l’initiative n’atteint pas son objectif. «Avec cet texte, on punit les victimes du port forcé du voile et non les coupables d’infractions», relève Simone Curau-Aepli, présidente de la SKF. Les associations craignent que l’accès à l’aide devienne plus difficile pour les femmes qui sont effectivement victimes de contrainte.

«Dans notre société libérale et démocratique, la liberté de religion est une valeur fondamentale, dont la protection est inscrite dans la Constitution fédérale de la Confédération suisse», argumentent les deux associations. Cela inclut le droit de suivre les coutumes et préceptes religieux, dont font partie les habitudes et prescriptions vestimentaires religieuses.

3 Commentaires

  1. Ridicule la povre lydia….ignore t elle que Israel état juif a conclu des accords avec le Qatar les EAU….et que bien évidemment il est dans leur intérêt deles soutenir…

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît tapez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici