Professeur décapité : Vidéo de la neutralisation du meurtrier par la police

Dans une nouvelle vidéo publiée ce matin, on entend les cris et les coups de feu qui ont permis à la police de neutraliser le meurtrier d’un enseignant à Conflans-Sainte-Honorine.

 

Dans cette vidéo, on entend les force de police crier sur le jeune homme de 18 ans en lui disant à plusieurs reprises : « Au sol! »

On entend également les policiers lui crier : « Jette ton arme ! », « Allonge-toi ! »

Au fil de la vidéo, on voit également un policier s’approcher doucement du terroriste tout en le braquant avec son arme.

On entend ensuite un autre policier lui dire : « Mets-toi au sol ! Mets-toi au sol ! Au sol ! »

Puis un membre de la police s’écrie à plusieurs reprises : « Il tire ! »

Mais un autre policier répond : « Ce sont des billes ! Ce sont des billes les gars ! »

Ensuite, on entend un homme, probablement le terroriste, crier « Allahu Akbar ». C’est alors que des coups de feu sont entendus.

Pour rappel, hier vers 17h, le corps sans vie et décapité d’un professeur d’histoire a été retrouvé dans une rue de Conflans-Sainte-Honorine. Il s’agissait d’un professeur qui avait montré les caricatures du Prophète à ses élèves il y a quelques jours. Le meurtrier présumé, un homme de tout juste 18 ans a été retrouvé peu après dans la commune d’Eragny-sur-Oise. Les forces de la police l’ont abattu peu après, comme nous pouvons le voir dans cette vidéo.

3 Commentaires

    • C’est un martyr sans aucun doute parce qu’il a été assassiné, ils l’ont tué, si il l’avait attrapé vivant il serait pas un martyr

      par contre toi tu n’auras pas droit aux vierges, tu auras droit à des centaines de gardiens munis de fourches qui vont te précipiter la tête la premiére dans le feu de la géhenne

      hahahahahaahhaaaaaaa

    • apparement il n’y a pas de censure ici, profitons en
      Voyons si vous, Alnas, permettez aussi bien l’écriture dans les 2 sens.

      Momo tu es un fils de pute (et elle a du tourner ta reum) et comme tes freres vous méritez de mourrir comme des chiens dans une fausse commune.

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