La dette de la France est aujourd’hui estimée à 2 000 milliards d’euros (soit presque 100 % du PIB).
Pourtant, et très étrangement, les investisseurs continuent à prêter leur argent, car ils savent que l’État français, en dernier recours, fera un hold-up sur l’épargne des Français et se servira directement dans leur capital.