Persuadés de la justesse de leur cause, les extrémistes sont indifférents à l’identité des personnes touchées et sont totalement insensibles aux dommages provoqués. Ces terroristes désœuvrés commettent des exactions qu’ils tentent de justifier par la religion, leur donnant ainsi un prétexte pour causer un maximum de victimes.

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Cependant lorsque l’on examine d’un peu plus près ce qu’a été leur vie avant de basculer dans l’horreur, on peut dès lors s’étonner que les préceptes de l’Islam n’ont pas vraiment fait partie de leur quotidien. Les kamikazes qui ont défrayé la chronique après avoir fait un carnage dans Paris en sont le parfait exemple.
D’après l’ex épouse de Brahim Abdesalam, celui qui s’est fait exploser au café “Le Comptoir Voltaire” n’était pas un adepte de la mosquée. Le jeune belge originaire de Molenbeek et frère de Salah Abdeslam, activement recherché par toutes les polices, passait le plus claire de son temps à fumer des joints assis dans son canapé tout en regardant des vidéos ou à écouter de la musique, confie Naïma, celle qui a partagé sa vie durant deux ans, au tabloïd britannique Daily Mail.

Toujours d’après les dires de la jeune femme, il se contentait de pratiquer le Ramadan contraint et forcé par sa famille qui « l’obligeait à s’y soumettre ».
L’ex-femme de Brahim n’est pas très tendre avec celui qui fut son mari, ni d’ailleurs avec son ex belle-famille. Le seul aspect positif du jeune homme serait sa compétence en tant qu’électricien, il aurait même pu créer sa propre société, renchérit Naïma, mais sa fainéantise l’aurait empêché de mener à bien une telle mission, préférant dépendre des allocations de chômage.

Le bar des frères Abdeslam, “Les Béguines” où ils aimaient boire « leur Jupiler » célèbre bière belge et passer leur temps, a finalement été fermé par la justice « pour consommation de substance hallucinogènes prohibées ».
Ces allégations portées à l’ encontre de Brahim Abdeslam, le sont par une ex épouse, il est donc difficile de confirmer ou d’infirmer sans éléments probants pour étayer ses dires.
Ce qui est sûr, c’est qu’à un moment de leur vie, les frères Abdeslam ont croisé le chemin de fous dangereux qui les ont précipité vers leur perte.

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