La théorie de l’évolution de Darwin, selon laquelle, les espèces ont évolué les unes à partir des autres, une sorte de lien évolutionniste entre-elles, est décriée depuis l’origine.

Le Coran traite, à de nombreuses reprises, de la création de la vie et de l’univers. Mais, dans aucun verset, on ne trouve d’indication de création par l’évolution. Bien au contraire, Allah, exalté soit-Il, a créé la vie et l’univers miraculeusement en leur ordonnant « Sois ! ».

L’Islam n’est pas seul à réfuter l’idée. D’éminents scientifiques contestent aussi cette théorie. L’évolutionniste, David Kitts, professeur à l’université d’Oklahoma, a bien été obligé d’admettre que « L’évolution nécessite des formes intermédiaires entre les espèces, et la paléontologie ne les a pas fournies ». (David B. Kitts, Paleontology and Evolutionary Theory, Evolution, vol. 28, septembre 1974, p. 467).

Plus de 100 million de fossiles, comprenant 250.000 espèces différentes, ont été déterrés, à ce jour, et chacune de ces espèces prouvent la création. Des preuves irréfutables sont avancées par les scientifiques.
En étudiant les fossiles, il s’avère que les changements morphologiques sont très limités de leur existence jusqu’à leur disparition. Aucune apparition graduelle d’une espèce due à une transformation de ses ancêtres. Une espèce apparaît soudainement et elle déjà « pleinement formée » (S.J. Gould, « Evolution’s Erratic Pace » Natural History.).

Il en est de même de l’être humain. D’après la théorie des évolutionnistes, il aurait évolué graduellement de l’Australopithèque en Homo habilis, en Homo erectus pour finir en Homo Sapiens, donnant l’impression d’un lien, qui s’est construit étape par étape, jusqu’à la mutation actuelle.

Mais les dernières découvertes des paléo-anthropologistes, démontent cette affirmation. Les Australopithèque, Homo habilis et Homo erectus auraient vécu à la même époque mais dans des endroits différents du monde.
Pour ce qui est de leur apparence proche de l’homme-singe, il est quasi impossible de déterminer et encore moins de prouver, à quoi ressemblaient les espèces éteintes, sur base de fragments d’os. Les tissus mous (lèvres, nez, oreilles) ne se fossilisent pas.
Mais comme le dit l’adage, « toute vérité n’est pas bonne à dire ». Quel bouleversement si la vérité venait à éclater, mais plutôt que de prendre le risque, certains scientifiques préfèrent taire leur découverte.

Ce qui n’a pas été le cas du chercheur Mark Armitage. Pendant ses recherches sur le site de l’excavation de Hell Creek dans le Montana, il a fait une découverte, qui a révélé, que les dinosaures étaient encore vivant il y a quelques milliers d’années et non pas il y a 60 millions d’années selon la théorie officielle, sur laquelle repose tout l’édifice.
Malheureusement pour lui, le CSUN (California State University Northridge), qui l’employait, le licencia, pour manque de financement, une justification officielle, qui cache les vraies raisons de son congédiement.

Un officiel du CSUN a dit à Armitage « Nous n’allons pas tolérer votre religion dans notre département ! ». Pour l’avocat du scientifique, il s’agirait d’un abus de pouvoir, « Virer un employé pour ses idées religieuses est totalement inapproprié et illégal »
« Mais le faire pour tenter de réduire au silence un discours scientifique dans une université d’état est encore plus alarmant. Ce devrait être un signal d’alarme et un avertissement pour le monde universitaire . ».

L’idée même que l’humain est issu d’une forme archaïque de primates est incompatible avec l’Islam, puisque la lignée humaine a débutée avec un couple d’humains, créés par Dieu, sans rapport avec l’espèce animale.

Wallâhu A’lam (Dieu sait mieux).

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