Après l’horrible assassinat d’un enfant palestinien, Ali, âgé de 18 mois, brûlé vif dans sa demeure durant son sommeil, l’indignation est à son comble. Son frère et ses parents brûlés à 90% sont entre la vie et la mort.
Dans ce contexte tumultueux, les réactions ne manquent pas, tantôt écoeurées, tantôt révoltées, tout le monde s’accorde pour dénoncer l’innommable.

[Ne manquez plus aucune info et rejoignez vite HBK sur Facebook en cliquant ICI ! ]

Cependant pour certains, loin d’être tragique, le meurtre d’un bébé prêterait plutôt à l’amusement, comme le prouve ce message posté sur Twitter par « Ilan c – israélien» où il est écrit :
« #AliDawabsheh, ça va t’as pas trop chaud ? »

Que faut-il penser de cette remarque abjecte à propos de la mort d’un enfant brûlé par des monstres sans foi ? Que la barbarie n’est pas du seul apanage de l’armée israélienne mais de tous ceux qui partagent les idées de la politique sanglante de l’état hébreu.

Pourquoi ces post haineux faisant l’apologie du terrorisme ne sont-ils pas soumis à la répression étatique comme le furent les commentaires de plusieurs musulmans qui ont fini inculpé et condamné ?
Pourquoi cette justice à géométrie variable où pour les uns il s’agit de « liberté d’expression » et pour d’autres d’ « apologie du terrorisme » ? Pourquoi cette politique du deux poids deux mesures ? Où se trouve la différence ?

Comment le gouvernement français peut-il expliquer cette inégalité qu’il a volontairement et sciemment instauré, donnant le privilège aux uns pour cracher leur venin en toute impunité, et aux autres de subir les tourments des tribunaux ?

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît tapez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici