Selon un article publié par le quotidien américain The Washington Post ce mercredi 18 novembre, les lourdes frappes de l’armée française sur le centre Raqqa toucheraient très peu de terroristes, mais au contraire, bon nombre de civils.

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La raison parait simple, compte tenu des stratégies adoptées par les combattants de Daesh :
« Après une année de bombardements, les combattants de Daesh ont appris à mettre leurs armes à l’abri, à sécuriser leurs outils de communication et à se cacher dans d’importants bunkers ce qui fait que le nombre de civils qui meurent ou sont blessés est élevé au point d’être intolérable » (traduction oumma.com) et Theodore Karasik, l’expert cité par le Washington Post, décrit le réseau sous terrain utilisé par Daesh pour échapper aux bombes…

Par ailleurs, à en croire les dires d’un activiste dans l’article publié par le quotidien américain, les chefs du réseau terroriste « utilisent la technique des boucliers humains, c’est-à-dire qu’ils placent leurs postes de commandement en plein cœur de la population civile, ce qui rend les bombardements hasardeux », ce que les soldats français ou les médias nomment « bavure » ou encore « dommages collatéraux »…

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