Peut-être qu’une histoire similaire vous est arrivée en allant glaner quelques articles bon marché à acheter chez Primark ? Un jeune homme de 25 ans originaire de Grande Bretagne s’est rendu dans un des magasins de la célèbre chaîne à Newcastle pour y acquérir une paire de chaussettes. Arrivé chez lui, qu’elle n’est pas sa surprise de découvrir au fond de la boîte une lettre rédigée en chinois.

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Après traduction de la missive grâce à une application téléchargée sur son smartphone, le client se rend compte qu’il s’agit d’une sorte de bouteille jetée à la mer, où l’auteur dénonce les conditions inhumaines dont il est victime suite à une arrestation arbitraire et des actes de torture subis en prison.
Shahkiel Akbar, notre chaland consterné s’est confié au Daily Mail après l’étonnante découverte : « Lorsque j’ai vu ce bout de papier, j’ai tout de suite senti que le texte qu’il renfermait serait terrible », a-t-il expliqué, ajoutant : « J’étais vraiment choqué. Je me sens responsable maintenant que j’ai trouvé cette lettre. J’ai le devoir d’en parler ».

Bizarrement, la chaîne low-cost ne semble pas du tout embarrassée par cette affaire, puisqu’elle affirme trouver régulièrement ce genre de notes qui semblent plus tenir du canular.
Le Daily Mail écrit, sans toutefois citer ses sources, avoir plus de précisions quant à l’identité de l’auteur de la lettre qui serait un certain Ding Tingkun, un chinois de 39 ans originaire de la province d’Anhui.
Il aurait été injustement accusé de fraude et de chantage avant d’être condamné à trois ans de prison en juin 2014. Brimades et tortures seraient le lot quotidien du chinois qui dit avoir été contraint de confectionner ces chaussettes.

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« Qui que vous soyez, vous qui trouvez cette lettre, je vous supplie de la donner au président Xi Jingping ou au Premier ministre Li Keqiang ou encore de la transmettre via les médias ». écrit-il avant d’ajouter : « Ma femme et moi sommes désormais paralysés ».
Ce n’est pas la première fois que Primark est confronté à ce genre de situation. Pas plus tard que la semaine dernière, un homme a trouvé une autre note dans une paire de chaussettes achetée au magasin de Huddersfield dans le nord de l’Angleterre. Là l’auteur se plaint d’avoir été injustement condamné pour kidnapping par le gouvernement chinois tandis que sa femme serait détenue dans un hôpital psychiatrique et son père assassiné.

Mais selon la chaîne de magasin Primark il ne s’agirait que d’affabulations provenant de petits plaisantins mal intentionnés. « Nous pensons que ces lettres sont glissées dans les produits après leur production. Nous nous sommes renseignés et nous n’avons trouvé aucun lien entre ces notes et nos usines en Chine ».
Quelle mauvaise publicité pour Primark si ces appels à l’aide s’avéraient être réels et issus de personnes en souffrance.

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