La violence avec laquelle le torchon “Charlie Hebdo” a exploité l’image du petit Aylan est insoutenable. Alors que des milliers de personnes, dont des femmes et des enfants, risquent leur vie dans l’espoir d’un avenir meilleur, le journal satirique vient a franchi un pas de trop dans la polémique si chère à son cœur.

[Ne manquez plus aucune info et rejoignez vite HBK sur Facebook en cliquant ICI ! ]

La presse étrangère et les internautes étrangers ont été scandalisés par les caricatures du petit garçon, et le hashtag #JenesuispasCharlie a commencé à inonder le net.

Par contre côté français pas de quoi s’émouvoir, les répugnants dessins sont passés comme une lettre à la poste. Hormis la journaliste Aïda Touihri qui s’est indignée dans l’émission le Grand 8, elle s’est dit « extrêmement choquée » des images du petit Aylan, détournées de façon ignoble par l’hebdomadaire.
Ajoutant : « Ce n’est pas pour ça que j’ai manifesté le 11 janvier, ce n’est pas ça l’esprit Charlie, si c’est ça l’esprit Charlie, je ne suis pas Charlie. Cela me choque beaucoup, je ne peux pas rire, je ne pas pas ricaner sur la mort d’un enfant ».

Mais après tout Charlie Hebdo n’a finalement fait que ce que l’on attendait de lui, appliquer envers et contre tout la sacro-sainte liberté d’expression. N’a-t-il pas reçu des millions d’euros pour mener à bien sa mission qui est celle de dénigrer la veuve et l’orphelin ?
Les millions de personnes scandant « Je suis Charlie » n’ont-elles pas donné leur aval à Charlie Hebdo pour publier toutes les ignominies sorties de son cerveau malade ?

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît tapez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici