Depuis le début de l’opération « bordure protectrice » ou plutôt “opération de nettoyage ethnique du peuple palestinien”, l’Algérie a toujours montré un certain élan de solidarité en faveur de la Palestine.

Ce jeudi à Alger, les agents de l’ordre régulant la circulation, ont exigé à ce que la circulation automobile cesse complètement afin d’observer une minute de silence, en hommage aux nombreux martyrs Gazaouis.
Les cadres et fonctionnaires du Palais du gouvernement ont de leur côté interrompu leur travail pendant près cinq minutes à la mémoire des victimes de l’agression israélienne contre l’enclave palestinienne et ainsi exprimer un franc soutien envers le peuple palestinien qui fait face à une agression et une humiliation abominable de la part de l’armée israélienne.

Mais voilà que le président algérien Abdelaziz Bouteflika a encore une fois menacé l’Etat d’Israël par « une autre minute de silence » si les massacres venaient à se poursuivre dans la bande de gaza, nous explique le journal algérien Lematindz.

Que faut-il en tirer ? Une minute de silence va-t elle vraiment intimider Israël, cet Etat sioniste qui massacre impunément les civils Gazaouis et colonisent leurs terres depuis plus d’une quarantaine d’années ? Affaire à suivre…

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