Le conflit au Yémen connaît une ampleur considérable depuis 2014. Un conflit entre l’Arabie Saoudite et le Yémen qui commence avec le Printemps arabe en 2011 qui voit l’assassinat du dirigeant Yéménite Ali Abdallah Saleh. Une rébellion menée par les houthistes, tirant leur nom de Hussein Badreddine al-Houthi, réformateur et leader religieux chiite assassiné par le régime de Saleh en 2004, est menée pour « sauver le pays ».

Un conflit entre Sunnites et Chiites alimenté par la France principalement en armes. Cependant, Florence Parly, ministre des Armées dément le fait que ces armes aient été vendues dans ce but, bottant en touche :

L’utilisation des armes, une fois livrées, est normalement encadrée. Mais les conflits peuvent évolués Qui pouvait imaginer la survenance de se conflit au Yémen.

Lorsqu’on lui demande si les Yéménites « peuvent prendre sur la tête une bombe française », elle reste évasive :

Beaucoup de pays sont confrontés à cette situation: avoir livré des armes à d’autres pays alors que ces armes n’étaient pas censées être utilisées

Une interview langue de bois, entre réponses évasives et démentis, qui ne répond pas aux questions brûlantes de ce conflit.

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