[Vidéo] Regardez ce qu’il se passe en passant ce gâteau sous l’eau

La mal bouffe, un fléau qui se propage par l’évolution toujours croissance de nos envies qui doivent être assouvies maintenant et tout de suite. Une surconsommation que l’on nous vend comme faisant partie intégrante de notre siècle et à laquelle nous ne pouvons déroger. La nourriture industrielle, les fast-food, autant de poisons qui nous rongent la santé avec notre bénédiction.

Depuis 1980, les scandales alimentaires ont défrayé la chronique sans pour autant pousser le gouvernement à réagir sérieusement. La vache folle (1986-1996), la contamination à la dioxine (1999), l’épidémie de la grippe aviaire (2003), le porc transformé en bœuf (2011), les tartelettes Ikea aux matières fécales (2013) ou encore les chevaux de laboratoire vendus en boucherie (2013), tant de scandales et pourtant…

Du plastique à la place de riz sans parler des additifs chimiques censés faire maigrir, autant de ruses destinées à tromper le public. La publicité nous fait croire que les grandes entreprises font des efforts pour notre santé, alors qu’il s’agit d’un écran de fumée pour nous faire oublier les produits nocifs que nous ingurgitons à longueur de journée sans même nous en rendre compte.
Et face aux gros sous nous ne faisons pas le poids, les entreprises ne rechignent pas à nous faire avaler n’importe quoi même si les risques sont loin d’être négligeables.

Sur cette vidéo, une femme passe un muffin sous l’eau, une simple madeleine composée logiquement de farine, de levure, de sucre et d’œufs. Mais au bout de quelques lavages il ne reste plus rien du gâteau mis à part une matière qui ressemble à du coton ou de la fibre. Pourtant le fabricant n’a pas hésité à l’inclure dans sa recette au risque d’étouffer quelqu’un.
L’industrie alimentaire tente par tous les moyens de nous faire consommer toujours davantage et le public naïf lui fait confiance. Les industries prétendent détenir les solutions à nos problèmes de santé avec par exemple des aliments «allégés», alors qu’elles sont la source même de nos problèmes.

En conclusion, au lieu de dire «bon appétit» il serait plus opportun de dire «bonne chance».

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