L’apartheid semble être de retour.

Le CCIF nous rapporte, une fois de plus, un cas d’islamophobie flagrant. Le 16 décembre, une patiente vêtue d’un jilbab se rend chez sa kinésithérapeute, mais c’est ici que les choses prennent une tournure assez inattendue: une collègue de cette dernière lui affirme qu’elle va la placer dans une autre salle d’attente.
A ce propos, la victime témoigne : « Quand je lui en ai demandé la raison, sa réponse fut : «votre tenue agresse mes patients». J’apprends plus tard qu’il semblerait que la patiente précédente se soit plainte. »

Afin de se constituer sa propre opinion, la victime décide d’interroger les personnes présentes, qui leur rétorquent que sa tenue n’est pas gênante.
Comme si cela ne suffisait pas, la secrétaire médicale lui affirme qu’elle serait très probablement concernée par ce genre de situations quand elle ira venir chercher ses enfants à l’école. Selon elle, on lui demandera de découvrir son visage.
Balivernes ! Que ne faut-il pas entendre ! En effet, la sœur est toute à fait en règle puisque celle-ci ne couvre pas son visage. Quel est donc le problème ?

Lorsque la kinésithérapeute apprend ce qui vient de se passer, elle prend immédiatement sa défense, en assurant qu’elle allait parler à ses consœurs.

Ce genre de désagrément à l’encontre de la communauté musulmane ne montre en aucun cas une rigidité à leur encontre, mais bel est bien une forme de bêtise ahurissante.
Dès lors, il semblerait que ces types d’individus prennent un malin plaisir à chercher la moindre faille…

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît tapez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici