Depuis le début des attentats, plusieurs recherches ont démontré qu’au-delà de l’embrigadement effectué par Daesh sur les jeunes cédant à la violence de l’acte terroriste, il fallait également un certain degré de désinhibition pour aller sans humanité tuer des personnes innocentes de sang froid.
A présent on sait d’où vient la drogue servant à mettre ces jeunes terroristes endoctrinés dans un état secondaire.

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Cette drogue nommée le “captagon” serait produite en Bulgarie avant d’être remise entre les mains des combattants de Daesh.
Plus précisément, cette drogue serait fabriquée depuis 2011 dans un laboratoire appartenant à l’OTAN, nommé le « laboratoire de l’Alliance Atlantique ».
Le captagon est considéré depuis 1986 comme un stupéfiant puisqu’il est constitué de la molécule “fénétylline” issue de la famille des amphétamines servant à l’origine à soigner l’hyperactivité, la narcolepsie et la dépression.

Selon un trafiquant interrogé par Arte, cette drogue interdite a déjà été utilisé lors du Printemps Arabes afin de créer un enthousiasme exceptionnel dans les foules de Tunis, d’Egypte et de Libye.
Il explique aussi comment elle intervient dans le processus de récupération de Daesh: « ça donne la pêche, tu te mets à combattre sans te fatiguer. Tu marches droit devant toi. Tu ne connais plus la peur. Les combattants l’utilisent pour veiller et pour contrôler leurs nerfs ».
A savoir maintenant comment l’Otan, une organisation chargée de pacifier le monde, permet-elle de fabriquer cette drogue dans un de ses laboratoires. Puis, à l’exporter jusqu’en Syrie pour détruire à petit feu la population mondiale.

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