L’ex président du front national, Jean-Marie Le Pen, aurait échappé à la mort grâce à l’intervention, pendant la guerre d’Indochine en 1953, d’un soldat algérien.

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En effet, Bouabda Zaidi, aujourd’hui âgé de 88 ans et résidant à Ain Azel (Wilaya de Sétif en Algérie), déclare avoir participé avec les contingents militaires français pendant la seconde Guerre Mondiale et la Guerre d’Indochine avant de rentrer définitivement en Algérie.

Bouabda Zaidi précise qu’il évoluait aux côtés de Jean-Marie Le Pen durant une année. C’est d’un engagement en Indochine, que l’ex président du FN (sous-lieutenant à l’époque), avait été grièvement blessé par l’explosion d’une grenade jetée par les résistants Vietnamiens.
C’est à cet instant précis que M. Bouabda est intervenu à l’aide de sa mitrailleuse afin de sécuriser le périmètre et repousser au loin les opposants. Cette intervention a par ailleurs permis aux secours d’intervenir sur place très rapidement afin que Jean Marie Le Pen puisse être évacué. Depuis cet événement, Bouabda Zaidi déclare qu’il n’a eut de nouvelles de son supérieur. « Sans mon intervention, Le Pen aurait laissé sa vie ce jour là en Indochine », affirme-t-il.

Ce sauvetage n’a pourtant en rien empêché Jean Marie Le Pen d’avoir la ligne de conduite qu’il a toujours eut, en faisant notamment de la communauté maghrébine et musulmane de France, sa principale cible. Très étrange façon de se montrer reconnaissant.

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